CAMPAGNE ANGLAISE de Jean-Pierre GILSON

38,00 

Jean-Pierre Gilson a sillonné l’Angleterre sur les traces des grands écrivains et peintres du 18e et 19e siècles.
Du Devon au Yorkshire et la Cornouaille sur les lieux même des Hauts du Hurlevent des sœurs Brontë, Les chiens de Baskerville de Conan Doyle, L’Auberge de la Jamaïque de Daphné du Mourier, les paysages de Constable, de Gainsborough ou de Ruskin, le photographe s’attache, dans la morte saison, aux paysages qui fondent la culture anglaise. Cet ouvrage s’inscrit dans la veine de ses livres à succès, notamment Scotland (1991, 2004 , 2019), Ireland (1998), ou Somme (2016)

Jean-Pierre Gilson a sillonné l’Angleterre sur les traces des grands écrivains et peintres des 18e et 19e siècles.
Du Devon au Yorkshire et la Cornouaille sur les lieux même des Hauts du Hurlevent des sœurs Brontë, Les chiens de Baskerville de Conan Doyle, L’Auberge de la Jamaïque de Daphné du Mourier, les paysages de Constable, de Gainsborough ou de Ruskin, le photographe s’attache, dans la morte saison, aux paysages qui fondent la culture anglaise. Ce livre s’inscrit dans la veine de ses chefs d’œuvre noir et blanc, notamment Scotland (1991, 2004 , 2019), Ireland (1998), ou Somme (2016)
Texte de Willam Boyd [extraits] Quelques observations sur Campagne anglaise de Jean-Pierre Gilson
« Je l’ai déjà dit, mais cela mérite d’être répété : la photographie de paysage est un aspect extrêmement difficile de la forme d’art qu’est la photographie […] En regardant les photographies exceptionnelles de paysages anglais de Jean-Pierre Gilson, on constate, de manière presque subliminale, qu’elles contrastent puissamment et dramatiquement avec ce que nous pouvons voir de nos propres yeux. Ce simple fait est ce qui rend une photographie d’une vallée du Yorkshire différente et mémorable. […] Quand je regarde la photographie de Jean-Pierre Gilson prise à Modbury, Devon – une allée bordée d’arbres qui sépare une sorte de petit bâtiment en blocs recouvert de lierre – pourquoi cela me reste-t-il à l’esprit ? Pourquoi est-ce que je l’admire ? Pour le dire simplement, cette photographie est presque parfaitement composée.
La plupart des paysages présentés ici me paraissent typiquement anglais. Quiconque a survolé l’Europe continentale puis au-dessus de l’Angleterre aura enregistré la différence dans la configuration du paysage ci-dessous. La campagne anglaise cultivée est un patchwork de champs clos – des haies, pour l’essentiel, des murs sans mortier faits de pierre et de roche.
Ces superbes photographies nous rappellent que la « photographie de paysage » – ce sous-genre de l’art – est, paradoxalement, et dans de nombreux cas, une forme de portrait indirect. »

En co-édition avec l’éditeur anglais Dewi Lewis Publishing.

De sa passion pour la forêt, son premier territoire d’exploration, Jean-Pierre Gilson garde un sens aigu
de la composition qu’il déploie, avec rigueur et poésie, pour révéler les paysages
qu’il parcourt inlassablement depuis des dizaines d’années.

La France, l’Écosse, l’Irlande, l’Italie…
Des milliers de kilomètres de routes et chemins en toutes saisons, au petit matin,
dans la brume ou aux premiers éclats de soleil.

Accompagné par des lumières complices, il perçoit les détails qui révèlent la beauté cachée des paysages,
qui soulignent l’architecture, qui jouent avec les matières et qui subliment les paysages
les plus simples comme des sites exceptionnels.

C’est une photographie sans artifice, à la sensibilité contenue, au cadrage maîtrisé.
L’émotion naît de cette pudeur du regard, de cette sincérité absolue, créant des images hors du temps
où l’on goûte le monde nu.

Depuis quarante ans, plus d’une centaine d’expositions ont été consacrées à son travail :
Paris, Washington, Londres, Rome, Milan, Arles, Toulouse…

Il est l’auteur de nombreux livres dont on peut citer, entre autres :
Les Carmélites, 1989 ; Scotland, 1991, 2004 et 2019 ; Rivages, 2006 ; Ireland, 1998 ; Territoires de France, 2002 ;

Claude Monet à Giverny, 2013 ; Somme 1916, 2016, Compiègne, 1994, 2011 et 2017, Le front de l’aube, 2018 ;
Traces 1918-2018, 2019…

Poids 1,1 kg
Photographe(s)

Auteur.e(s) des textes

Genre

Caractéristiques

Relié cartonné
30 x 24 cm à l’italienne, 120 pages
Texte de William Boyd
96 photographies
Impression bichro sur couché 170 g
Couverture plein papier rembordé, pelliculée
Une co-édition avec Dewi Lewis Publishing (UK)

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