ARGILES d’Antoine Dambrine

38,00 

Entre Marne, Seine et Oise, l’Aisne, est un département méconnu, terre de passage, d’invasion, de culture. Au carrefour de la Champagne, de la Picardie, du Nord-Pas-de-Calais de l’Île de France et la Belgique.
Terre de passage, d’invasion et de culture, il compte de nombreux lieux de batailles de la Grande Guerre.
Antoine Dambrine l’a sillonné, s’attachant aux paysages, et notamment au sol la plupart du temps argileux. Sa manière de traiter les images noir et banc, qu’il tire lui-même, renvoit aux teintes brun-jaune de l’argile glaiseuse, ocreuse ou encore marneuse.
Après Granits, consacré aux côtes bretonnes et écossaises, voici Argiles.

[…] Les photos subtiles de l’ouvrage jouent souvent sur de faibles variations de gris, d’imperceptibles différences entre arbres, foins et route, entre route et végétal. Les nuances de gris révèlent la beauté des petites choses : grange ou château abandonnés, silos qui mettent en lumière un béton magnifique si décrié pourtant, arbres isolés dans une plaine qui se dressent comme un monument à la nature en parallèle avec un calvaire sur promontoire, château à la de Chirico – monument américain pourtant à Château-Thierry –, répétition de croix militaires dans un cimetière infini, forêts, géographie rigoureuse des bottes de foin sur une plaine agricole, … [Extrait de la préface]

* Ariella Masboungi est architecte et urbaniste. Elle a publié de nombreux ouvrages, notamment « Les territoires oubliés» (Le Moniteur, 2024)

Entre Marne, Seine et Oise, l’Aisne, est un département méconnu, terre de passage, d’invasion, de culture. Au carrefour de la Champagne, de la Picardie, du Nord-Pas-de-Calais de l’Île de France et la Belgique.
Terre de passage, d’invasion et de culture, il compte de nombreux lieux de batailles de la Grande Guerre.
Antoine Dambrine l’a sillonné, s’attachant aux paysages, et notamment au sol la plupart du temps argileux. Sa manière de traiter les images noir et banc, qu’il tire lui-même, renvoit aux teintes brun-jaune de l’argile glaiseuse, ocreuse ou encore marneuse.
Après Granits, consacré aux côtes bretonnes et écossaises, voici Argiles.

[…] Les photos subtiles de l’ouvrage jouent souvent sur de faibles variations de gris, d’imperceptibles différences entre arbres, foins et route, entre route et végétal. Les nuances de gris révèlent la beauté des petites choses : grange ou château abandonnés, silos qui mettent en lumière un béton magnifique si décrié pourtant, arbres isolés dans une plaine qui se dressent comme un monument à la nature en parallèle avec un calvaire sur promontoire, château à la de Chirico – monument américain pourtant à Château-Thierry –, répétition de croix militaires dans un cimetière infini, forêts, géographie rigoureuse des bottes de foin sur une plaine agricole, … [Extrait de la préface d’Ariella Masboungi*]

* Ariella Masboungi est architecte et urbaniste. Elle a publié de nombreux ouvrages, notamment « Les territoires oubliés» (Le Moniteur, 2024)

ARGILES d’Antoine Dambrine

Antoine Dambrine est un photographe français qui s’intéresse particulièrement aux paysages. Il est né à Paris et a passé l’essentiel de sa vie dans cette ville. Après avoir mené, dans les années 2000, un travail sur les cimetières militaires de la première guerre mondiale de la région des Hauts-de-France, Antoine Dambrine redécouvre, à partir de 2014, le département de l’Aisne, où il réside dorénavant.
Depuis une dizaine d’années, il arpente ce département et photographie avec passion les paysages de ce territoire « oublié », en écho aux territoires chers à Ariella Masboungi.
Ses photographies, toutes en nuances de gris, sont empreintes d’une grande sérénité. Ses cadrages
intemporels, captés au cours de ses déambulations solitaires – Antoine Dambrine fait partie de la confrérie des photographes marcheurs – s’attachent, dans une recherche de simplicité,
à mettre en valeur l’équilibre des volumes et des formes de ces paysages.
Antoine Dambrine s’exprime principalement en noir et blanc. Il attache une grande importance au tirage de ses images qu’il réalise lui-même.
En 2009, « Granits », son premier ouvrage, a été publié aux éditions Trans Photographic Press. Les photographies présentées dans « Argiles » ont été, pour les premières, réalisées en argentique dont les négatifs ont été numérisés. À partir de 2020, pour l’essentiel, les images sont issues de prises de vue numériques.

Ariella Masboungi. Architecte-urbaniste, elle a dirigé le « Projet urbain » et le Grand Prix de l’urbanisme au ministère en charge de l’urbanisme.
Elle a publié de nombreux ouvrages. Elle explore de nombreux sujets dont à présent
« L’urbanisme féministe » au Club Ville-Aménagement où elle dirige les « 5 à 7 » sur des thèmes de société. Elle a synthétisé son travail dans « Le plaisir de l’urbanisme » à l’occasion
du Grand prix de l’urbanisme qui lui a été décerné en 2016. Ses derniers ouvrages : « la ville pas chiante, alternatives à la ville générique » avec Antoine Petitjean en 2022 et, en février 2024,
« Les territoires oubliés, un futur désirable » avec Guillaume Hébert.

Poids 0,800 kg
Photographe(s)

Auteur.e(s) des textes

Genre

, ,

Caractéristiques

Ouvrage relié,
96 pages, format 20 x 25 cm à la française,
80 photographies imprimées en trichromie,
Préface d'Ariella Masboungi*,
couverture toilée, marquée à chaud.

Éditions

Édition courante, Édition courante signée, Édition originale #1, Édition originale #2, Édition originale #3, Édition originale #4

Vous aimerez peut-être aussi…

Mise à jour…
  • Votre panier est vide.